Deux images, quelques mots

Nouveau : hijab magnétique

Un hijab magnétique pour sécuriser et encourager les policières musulmanes au Royaume-Uni

23 décembre 20250commentaire

Un hijab magnétique, spécialement conçu pour les policières musulmanes, pourrait bientôt être adopté à plus grande échelle au Royaume-Uni. Baptisé Blue Light Hijab, ce couvre-chef innovant est déjà distribué à toutes les agentes concernées au sein de Leicestershire Police, tandis que d'autres forces de police et services d'urgence envisagent de l'adopter.

Développé en partenariat avec De Montfort University, le hijab se compose de deux parties reliées par un système magnétique à détachement rapide. En cas de confrontation, il se libère facilement afin d'éviter tout risque de strangulation ou que le tissu soit tiré sur les yeux de l'agente, tout en préservant sa pudeur. À l'origine du projet, le sergent-détective Yassin Desai, engagé de longue date sur ces questions, explique que les essais menés en conditions réelles ont confirmé la fiabilité du dispositif. Le Blue Light Hijab répond ainsi aux exigences de sécurité tout en respectant les convictions religieuses des policières qui le portent.(El Oumma). 

Zheng He : l’explorateur musulman qui a étonné le monde

Mahmoud Shams oud-Din Zheng He, amiral musulman de la dynastie Ming, a dirigé les plus grandes expéditions maritimes du XVe siècle. En 1405, il prend le large pour sept voyages qui le mènent d'Indonésie jusqu'à l'Afrique de l'Est, en passant par l'Inde et la péninsule Arabique. 

Avec des flottes immenses, il ramène en Chine des trésors et des animaux inconnus.

Zheng He, le navigateur qui a connecté les civilisations bien avant l'ère moderne.( Oumma.com). 

Charles III est connu pour son respect de l’islam

Charles III est connu pour son respect profond de l'islam : il a appris l'arabe pour lire le Coran et décrit l'islam comme « un trésor de sagesse ». 

Il rejette la théorie du « choc des civilisations » et affirme que l'islam « fait partie intégrante de l'héritage européen ». Mécène du Centre d'études islamiques d'Oxford, admirateur de la culture arabe et critique de la guerre d'Irak, il a souvent exprimé sa sympathie pour les Palestiniens. 

Un souverain dont la vision du dialogue interreligieux tranche avec celle de nombreux dirigeants britanniques.

Quand ils ne voulaient pas de bébés filles