Quand un député du Doubs siégeait en burnous à l’Assemblée en 1896

Le député musulman Philippe Grenier en costume traditionnel à l’Assemblée. Rue des Archives/©Rue des Archives/PVDE

En 1896, Philippe Grenier, médecin de Pontarlier et converti à l’Islam est élu député. Il choisit de se présenter à l’Assemblée vêtu de l’habit traditionnel des berbères, le burnous.Alors qu’aujourd’hui, l’Assemblée nationale propose d’interdire le port de signes religieux au sein de l’hémicycle, en 1896 la Chambre des députés laisse siéger, avec un peu d’étonnement tout de même, un député arborant burnous et turban blanc.

Arthur Wagner a choisi de devenir musulman.

Connu pour ses positions islamophobes, populistes et anti-immigration, l’un des leaders du parti allemand de l’Afd, , également vice-président du Land de Brandebourg, Arthur Wagner, vient d’annoncer sa conversion à l’islam.

Il est devenu musulman

C’est une véritable volte-face.Sa conversion à l’islam fait grand bruit en Allemagne. Comme le souligne le journal allemand Tagesspiegel le  mardi 23 janvier 2018 , cette conversion à la religion musulmane à de quoi étonner car sur le site internet de son parti, on peut encore lire « l’islam n’a rien à faire en Allemagne », mais aujourd’hui, le politicien reste très discret sur cette conversion, affirmant qu’il s’agit d’une « affaire privée ».
« La religion est une affaire privée. Nous croyons en la liberté religieuse telle qu’elle figure dans la Constitution », indique toutefois un responsable du parti interrogé par le journal Berliner Zeitung.
Il y a encore quelques mois, Arthur Wagner avait déclaré que « l’Allemagne est en train de devenir un autre pays », faisait allusion à l’accueil des migrants par son pays. Malgré ses propos, l’homme est connu pour faire du bénévolat dans sa ville natale.Est-ce le signe de la fin de son engagement dans le parti ? L'avenir le dira bien assez vite. Cet ancien membre de l'Union chrétienne-démocrate d'Allemagne (CDU), qui s'affirmait comme chrétien, a rejoint l'AfD peu après sa création en 2013.
La religion de Allah n'appartient à aucune nation, ni ethnie, ni communauté.
Allah n'est pas un nationaliste, ni un communtaire, il ne fait pas du favoritisme, pour lui toute l'humanité est une et indivisible.
Toutes les nations de la terre sont pareilles , c'est pour cela qu'il a envoyé des prophètes et des messagers  pour mettre l'humanité dans le droit chemin. Il est éclairé par des lanternes qui sont les prophètes et les messagers. Notre messager mohamed (alayhi afdala salat wa salam) est la dernière lanterne qui éclaire le chemin. La croyance on l'a ou on l' a pas.ALLAH guide qui il veut.Bienvenue à notre frère dans notre magnifique Religion qui est l’islam.
Pour comprendre les mouvements des médias en Allemagne , il faut imaginer une conversion de jean marie Lepen ou marine Lepen en France! 

Faire ses ablutions au boulot. A Londres, c’est possible

Faire ses prières au boulot quand on est musulman, c’est possible un peu partout dans le monde, même en France si votre supérieur ou votre patron n’y voit aucun inconvénient (ce qui est plus fréquent qu’il n’y paraît).
Mais faire ses prières après avoir fait ses ablutions à la manière de celles effectuées dans une mosquée, c’est moins courant.
C’est pourtant le cas en Grande-Bretagne, plus précisément à Londres, où un père de famille travaille et vit. Début novembre, ce dernier publiait sous le pseudonyme @AkhtNatural la photographie suivante, prise par ses soins.
Il s’agit d’un espace ablutions aménagé par son employeur pour ses employés musulmans. Fini les tracas – si c’était le cas comme ça l’est pour des milliers de pratiquant(es) en France – pour effectuer ses ablutions dans des pièces d’eau non adaptées ou à l’abri des regards pour ne pas essuyer les vives critiques de collègues agacés.

En France, la polygamie est autorisée

Paul Bocuse est décédé . Paix à son âme .
“Trois étoiles, trois femmes”, titrait le Parisien en 2007
La polygamie est autorisée en France quand elle n’est pas le fait de sombres barbus. Si vous vous appelez Paul Bocuse, vous avez droit non seulement d’être polygame, mais, mieux, de l’assumer et de le revendiquer haut et fort dans une émission de télévision à grande audience.
En 2007, Zone interdite consacrait un reportage au chef cuisiner Paul Bocuse. On y apprenait qu’il avait trois épouses, “Raymonde, son épouse depuis soixante ans et mère de sa fille”, “Raymone, son autre compagne depuis une quarantaine d’années et mère de son fils Jérôme” et “Patricia, troisième femme de sa vie, qui est de tous ses voyages.” « Il y en a une pour le déjeuner, une pour le thé et une pour le dîner », plaisante-t-il. « C’est ma vie, elle est faite comme ça », conclut-il sur le sujet en lâchant du bout des lèvres qu’elles « ont dû souffrir ». (source Le Parisien).

Si le bon sens est la chose la mieux partagée, comme l’écrivait Descartes, en France, l’hypocrisie l’est tout autant. Al kanz.

A Montpellier, les CRS pensaient démanteler une école coranique clandestine

La séquence pourrait prêter à rire si elle n’était pas aussi grave. Le 11 décembre 2017 , un car de CRS se déploie autour de la grande mosquée de La Paillade, à Montpellier. Les forces de l’ordre ont déployé de nombreux moyens pour pénétrer dans une école coranique "clandestine", comme l’indique Midi-Libre. Les suspects — des enfants de 3 à 10 ans et leurs parents — vont alors voir pénétrer les CRS dans leur établissement.

Un mois après cette opération, la vérité est en train d’éclater. Et elle n’est pas glorieuse pour les autorités : l’école coranique clandestine serait en réalité… une école de soutien scolaire. L’Association d’enseignement trilingue, qui dirige l’établissement scolaire, a peu goûté à la descente des CRS. A Midi-Libre, l’un des responsables de l’association, Mahfoud Benali, indique qu’il « soutient simplement une cinquantaine de familles qui ont fait le choix de l’instruction en famille », et que « tous les enfants sont inscrits au Cned », le Centre national d’enseignement à distance.

La situation pourrait donc paraître comique. Mais les familles sont aujourd’hui encore choquées. Un père de famille indique que « tous les enfants sont déclarés au rectorat, contrôlés par la mairie, certains ont un an d’avance. » De son côté, le procureur Christophe Barret affirme qu’« une enquête est en cours. » Il veut savoir si l’activité d’enseignement du centre répondait à tous les critères légaux.

Surtout, toujours selon Midi-Libre, le procureur indique que les CRS ont fait preuve de « toute la délicatesse nécessaire » et qu’« il n’y avait aucun policier encagoulé. » Les parents des enfants contestent cette version des faits.

L’Association d’enseignement trilingue rappelle enfin qu’elle est totalement transparente. Outre les déclarations au rectorat, elle assure avoir obtenu un permis de construire pour bâtir ses futurs locaux à Tournezy, pour la rentrée prochaine.

Le film d’animation “Bilal” débarque aux Etats-Unis

Produit par la société Barajoun Entertainment basée à Dubaï, « Bilal », le premier film d’animation, grand spectacle, réalisé par des artistes saoudiens poursuit sa belle aventure dans les salles obscures et, deux ans après sa sortie très remarquée, notamment à Cannes, s’apprête à débarquer aux Etats-Unis, le 2 février prochain.
Puisant son inspiration dans le fabuleux destin de Bilal Ibn Rabah, plus connu sous le nom de Bilal Al-Habashi, l’esclave éthiopien passé à la postérité en tant que proche compagnon du Prophète Muhammad (saws) et premier muezzin de l’histoire, ce grand film d’aventures met en scène un jeune héros, vertueux et valeureux, aux prises avec les tumultes d’une époque lointaine dont il finira par triompher, en se libérant de ses chaînes.
« Il y a mille ans, un jeune garçon, qui caressait le rêve de devenir un grand guerrier, a été enlevé avec sa sœur et emmené dans un pays loin de chez lui. Jeté dans un monde où la cupidité et l’injustice régnaient en maîtres, Bilal a puisé en lui la force et le courage d’élever la voix et d’appeler au changement. Cette histoire est celle d’un homme d’exception dont le souvenir impérissable a traversé les siècles », tel est le synopsis couché sur le papier par Ayman Tariq Jamal il y a huit ans de cela, avant de s’animer sur grand écran grâce à une équipe composée de 250 artistes arabes de talent.
 Véritable Superman des temps immémoriaux, le « Bilal » imaginé, conçu et réalisé par le Saoudien Aymal Tariq Jamal avec une grande rigueur historique a bénéficié des précieux avis et conseils de 11 chercheurs émérites, chaque personnage ayant été modélisé à partir des descriptions précises mises en exergue dans des ouvrages de référence.
Le public américain se laissera-t-il à son tour emporter par le souffle épique du film d’animation « Bilal » ? Réponse dans moins d’un mois, devant les salles de cinéma de l’autre côté de l’Atlantique…

Boubakeur pas content !

La grande mosquée de Paris dénonce une « injuste et inexplicable mise à l’écart »
Et pourtant , On ne l’a jamais vu s’offusquer à l’expulsion des élèves voilées des écoles. On ne l’a pas vu non plus s’offusquer du discours islamophobe extrêmement virulent tenu dans les médias depuis une vingtaine d’années. Non plus concernant l’exclusion des mamans voilées des sorties scolaires et pas davantage concernant la polémique stupide de la viande halal dans les cantines… Bref, il s’est tellement tu que nous pensions qu’il était muet ! Mais dès qu’il s’agit de son propre prestige politique, sa langue ce délie et Monsieur commence à bouder ! Quelle honte…Le recteur Boubakeur, qui s’estime marginalisé depuis qu’il a laissé les commandes du CFCM en 2015, est coutumier de ces sorties fracassantes, généralement suivies de retours plus discrets.