jeudi 28 mai 2020

Diversité ?

dimanche 24 mai 2020

Aid Moubarak

mercredi 20 mai 2020

Un morceau d'Algérie au Musée du Louvre

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Le saviez vous,  au sein même du plus grand musée du Louvre,  se trouve deux étages réservés à l'art de l'islam , depuis la naissance du prophète (saw). Sur la chronologie de cet art vous trouve une planisphère ou se trouve les vestiges anciens de cet art .

On y découvre un trésor caché provenant d'Algérie,  ci-contre en photo , une sorte de pierre taillée, avec des versets coraniques.  Ne manquez surtout pas deux choses : la première c'est ce merveilleux film sur la naissance de l'islam et donc de Mahomet , que la paix soit sur lui. Et la deuxième,  consiste en une projection vidéo des plus belles mosquées du monde en écran palissade immense . Une exposition définitive a voir absolument (myalgerianpost).

vendredi 15 mai 2020

Un masque pour un mask !

jeudi 14 mai 2020

La presse américaine ironise sur une France qui impose le port du masque et interdit celui du voile

Peut-on imposer le port du masque comme mesure de prévention contre le Covid-19 et interdire, dans le même temps, le port du voile aux femmes musulmanes ? La France se retrouve clouée au pilori sur l’autel de l’ironie américaine, rapporte le site de France Irak. Source : France-irak-Actualités et http://fr.le360.ma

mardi 12 mai 2020

Le CFCM appelle les musulmans “à se préparer à célébrer très probablement la prière de l’Aïd à la maison”

Dans la perspective d’une reprise des cérémonies religieuses à partir d’une date qui sera fixée définitivement par le gouvernement, le CFCM recommande ce qui suit :

–  Avant de procéder à la reprise, les responsables des mosquées doivent se rapprocher des préfectures et des mairies avec les CRCM pour concertation autour du protocole qu’ils mettent en place et pour mieux suivre l’évolution de la situation.

– Chaque responsable de mosquée doit veiller à procéder à des désinfections régulières. La distanciation physique, les gestes barrières et la réduction du nombre de fidèles sont des éléments indispensables à mettre en application de manière rigoureuse.

– La reprise doit être progressive et ne peut avoir lieu à l’occasion d’un grand rassemblement.

–  S’assurer d’avoir les moyens de faire respecter la distanciation physique. Une mosquée doit commencer par recevoir moins du quart de sa capacité d’accueil.  Si cette capacité est de 200 personnes, elle ne doit pas accueillir plus de 50. Un marquage au sol doit être effectué afin de rappeler les distances nécessaires, et un affichage clair doit être visible afin que chaque fidèle puisse être informé du règlement.

– S’assurer de la possibilité de convaincre les personnes vulnérables, et notamment les personnes âgées, de différer leur reprise à une date ultérieure. À défaut, nous recommandons de différer la reprise pour tous, car il est de notre devoir de mettre tout en œuvre pour protéger nos aînés.

– Le contact du visage avec le tapis lors des prosternations, ainsi qu’une éventuelle rupture de la distanciation physique, imposent le port obligatoire du masque à l’intérieur de la salle de prière.

– La pose des mains sur les tapis impose leur désinfection avec du gel hydroalcoolique, avant l’entrée dans la salle de prière. Etant entendu que les salles d’eau doivent rester fermées pendant les premières semaines d’ouverture.

– Pour une protection complémentaire du visage, il est recommandé à chaque fidèle la pose d’un mouchoir papier à usage unique, à l’endroit de la prosternation.

– Pour éviter que les fidèles ne se croisent et faciliter la distanciation physique, il faut prévoir une entrée et une sortie séparées pour la mosquée et les salles de prière.

Si l’une des conditions évoquées ci-dessus ne peut être réalisée, la reprise devra être différée à une date ultérieure. L’objectif de tout responsable de mosquée est de veiller à ce que les cérémonies religieuses ne puissent en aucun cas être une source de contamination du Covid19.

Enfin, à titre de précaution, le Bureau exécutif du Conseil français du culte musulman (CFCM) recommande de ne pas reprendre les enseignements, ainsi que les activités culturelles, dans les locaux de la mosquée jusqu’à nouvel ordre. Paris le 11 mai 2020, Le Conseil Français du Culte Musulman

lundi 11 mai 2020

Etre musulman !

dimanche 10 mai 2020

“Collège La Vertu” : un nouvel établissement musulman à Annecy

Malgré les obstacles, l’enseignement musulman privé se développe petit à petit en France. On en compte une centaine d’établissements au total de la maternelle au lycée. Parmi ces derniers, le “collège La Vertu” qui était prévu  à la rentrée 2020 dans la ville d’Annecy. Les inscriptions sont d’ores et déjà ouvertes pour la prochaine rentrée. A son ouverture, le collège disposera dans un premier temps, de trois classes (6ème , 5ème et 4ème). L’ouverture de la classe de 3ème étant prévu pour la rentrée suivante. Le collège sera abrité dans les locaux de la mosquée située au 48 chemin de la Prairie dans la zone industrielle de Vovray.(desdomesetdesminarets).

vendredi 8 mai 2020

Al-Zahrawi (Albucasis) , le père de la chirurgie moderne

Al Zahrawi le pionnier chirurgie

Al-Zahrawi, le père de la chirurgie moderne

«Une fois la trachéotomie décidée, il faut inciser au-dessous du troisième ou quatrième anneau de la trachée, peu largement et en travers, entre deux anneaux, de manière à ne point intéresser les cartilages, mais seulement la membrane [intercartilagineuse] (…). Laissez quelque temps la plaie ouverte. Quand vous jugerez qu’il n’y a plus danger de suffocation, vous réunirez les deux lèvres de la plaie, mais en ne comprenant dans la ligature que la peau et non les cartilages. Vous panserez ensuite avec des médicaments qui excitent les chairs jusqu’à la guérison (…).»

Ce texte décrivant l’opération de l’incision du larynx (trachéotomie) est extrait du Tasrif, un grand ouvrage de trente volumes écrit par le plus célèbre des chirurgiens du Moyen-Âge, Abu al-Qasim al-Zahrawi (936-1013), plus connu en occident sous le nom d’. Né et élevé à Madinat al-Zahra à la périphérie de Cordoue où il passe toute sa vie, al-Zahrawi est considéré comme le père de la chirurgie moderne. Il fut médecin à la cour d’Al Hakam II puis celui d’Almanzor (Al Mansour) sous le Califat omeyyade de Cordoue.(desdomesetdesminarets).

interdictions formulées par les cédules royales de transférer outre-mer des esclaves musulmans


Il y a près de quatre siècles, la religion musulmane s’est exportée en Amérique grâce aux esclaves africains.Si certains ont renié leur foi sous le coup de « la torture» d’autres ont néanmoins réussi à faire prévaloir leur « identité socio-religieuse ».Parlant des Africains venus au Brésil à partir du 16ème siècle et jusque vers le milieu du 19ème, Freyre affirme : « La vérité c’est qu’on a importé au Brésil de l’aire la plus pénétrée par l’Islam en Afrique subsaharienne, des Noirs mahométans (adeptes de la religion du prophète Mohamed, ndlr) supérieurs non seulement à nos indigènes, mais encore à la plus grande majorité des colons blancs ».
Sur les près de quinze millions d’Africains faits esclaves en Amérique, un quart pouvait se réclamer de l’islam. Vendus aux marchands européens comme captifs de guerre, ces esclaves, qui généralement savaient lire et écrire, se battre et cultiver la terre, étaient l’objet de bien des fascinations.
Bilali Muhammad, premier savant musulman d'Amérique
Bilali Muhammad
La tête de file de cette communauté de musulmans déportés est sans doute Omar Ibn Saïd (1770-1863) auteur de 14 manuscrits rédigés en langue arabe. Érudit capturé à 37 ans au Sénégal puis vendu en Caroline du Sud, il a donné à la postérité une célèbre autobiographie écrite en 1831. Une mosquée en Caroline du Nord porte son nom, depuis 1991.
Parmi eux, un homme hors du commun : Bilali Muhammad. Peul originaire du Futaa Jallon, en Guinée actuelle, il est capturé et déporté aux Bahamas à l’adolescence, où il restera dix ans avant d’être vendu à un député américain, Thomas Spalding, qui l’assigne en 1803 à sa plantation de coton sur l’île de Sapelo, au large des côtes de la Géorgie. Bien qu’esclave, l’homme se fait vite remarquer par ses compétences : issu d’une famille lettrée, il est nommé superviseur et administrateur, une position qui lui permet d’alléger les souffrances de ses coreligionnaires, d’autant que Spalding est un propriétaire relativement “libéral” pour l’époque, au regard des horreurs que subissent alors les esclaves du Sud américain.(desdomesetdesminarets).
Ainsi des révoltes de Bahia au Brésil ou le cas de l’Amistad, ce négrier espagnol repris par les captifs eux-mêmes après une mutinerie. Échouant au large de New York, en 1839 de l’ère chrétienne, les mutins, musulmans pour beaucoup, furent tous placés en détention et au centre d’un procès resté fameux, avant d’être libérés.(Sarazzins).
La réduction d’un musulman libre à la condition servile n’était point admise par l’Islam. Or de nombreux africains réduits à l’esclavage par les Portugais au XVe siècle appartenaient à des ethnies déjà islamisées, de sorte que les “jolofes” et les “mandingas” n’étaient pas rares à Séville où ils faisaient montre de leur insoumission.Cette même résistance se manifesta d’une façon plus violente dans le Nouveau Monde où les conditions de l’esclavage empirèrent. Dès les débuts du XVIe siècle les “jolofes” suscitèrent de graves soulèvements qui menaçaient l’existence de la société coloniale naissante. D’où les interdictions formulées par les cédules royales de transférer outre-mer des esclaves musulmans, quelle que fût leur origine. Mais la traite rendait difficile l’application de ces textes, et, avec le temps, le comportement rétif du “mandinga” fut considéré comme une manifestation diabolique, vision que recueillit la tradition littéraire.(Openedition).

jeudi 7 mai 2020

Soyez toujours une bonne personne !

lundi 4 mai 2020

A bien comprendre le bon sens

Message à retenir de ce debut 2020

samedi 2 mai 2020

Loger en face de la mecque pendant el hadj

vendredi 1 mai 2020

Le changement c'est tous les matins