Le wahhabisme, à cheval sur la « charia » joue de l’amertume et de la
détresse des démunies pour s’octroyer une main-d’œuvre assujettie et
docile en ignorant les dénonciations de plusieurs organisations
internationales qui les ont épinglés pour des pratiques maffieuses dont
la traite des êtres humains par le travail forcé et surtout l’esclavage.
Ceux qui seraient tentés par une telle « aventure » doivent s’attendre à une vie de servitude et d’humiliation.
L’Arabie saoudite offre l’image d’un pays musulman ultraconservateur
mais les fêtes privées des puissants dans la ville portuaire de Djeddah
peuvent s’accompagner de drogue, de sexe et d’alcool, selon les mémos
Wikileaks, disponible dans leur site web. Les fêtes se déroulent dans
des maisons privées.La gamme entière des tentations et des vices est disponible – alcool,
drogue et sexe – mais strictement derrière des portes closes. Cette
liberté n’est rendue possible que parce que la police religieuse évite
les fêtes qui se tiennent en présence ou sous le haut patronage des
membres de la famille royale ou des cercles qui lui sont proches.
Il existe 10 000 princes en Arabie Saoudite et que les princes saoudiens
ont pour habitude de recruter leurs gardes du corps au Nigeria ou dans
d’autres pays africains.
Le trafic de drogue est sanctionné par la peine de mort et la production
ou la consommation d’alcool sont sévèrement réprimés par la loi en
Arabie saoudite. Mais qui l’applique ? (Algérie 360-octobre 2015).
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