les musulmans dans l'Islam ! C'est quoi un musulman ? Qui peut être musulmans? Comment devenir musulmans? Ou habitent les musulmans?
mardi 27 octobre 2020
Un rappel pour ne pas oublier
samedi 24 octobre 2020
Un message à pratiquer par tous
mercredi 21 octobre 2020
Ghaleb Bencheikh (FIF) : “L’arabe est une langue qui ouvre sur tout un imaginaire”
Sur CNews, brillante intervention de Ghaleb Bencheikh, Président de la Fondation de l’islam de France qui rappelle quelques vérités sur la langue arabe souvent assimilée à une langue religieuse. :
« L’arabe n’est pas la langue du communautarisme. C’est une langue de civilisation et de diplomatie, une langue de travail à l’ONU. Lyrique et poétique, elle ouvre sur tout un imaginaire. Son horizon est culturel, celui des humanités, des belles lettres, et du cérémonial des cours. ». Oumma.com.
lundi 19 octobre 2020
L'islam réveille le cœur
Laïcité et islam : c 'est pas nouveau
Les musulmans pendant les guerres mondiales
dimanche 18 octobre 2020
Le musulman répond par un sourire
samedi 17 octobre 2020
A voir, à méditer, à suivre ....
Aide aux traitements contre l'islamophobie
vendredi 16 octobre 2020
Algérie : l’islam sous administration coloniale
Il n’est pas question de libérer la religion musulmane de l’intervention de l’État, mais au contraire de continuer sa mise sous tutelle dans une forme renouvelée. Des associations cultuelles voient le jour, mais sans recevoir ni pouvoir ni dévolution des mosquées et seuls les imams sont désormais rémunérés sur la base d’« indemnités temporaires de fonction » plus précaires que le système antérieur, tandis que le petit personnel n’est plus payé.
Le culte musulman mis en place n’a pas les moyens de contrôler toute la société, ni toute la religion. De nombreuses mosquées échappent à son contrôle et après la première guerre mondiale, le cheikh Abdelhamid Ben Badis lance à partir de Constantine le mouvement des mosquées « libres » qui refusent aussi bien les subsides coloniaux que les sujétions qui vont avec. On est à front renversé : le guide des Oulémas demande la séparation de la religion et de l’État, mais le gouvernement colonial français refuse aux musulmans le bénéfice d’une loi dont il s’est pourtant doté.
En France, dans les années 1980, avec la sédentarisation en métropole d’un nombre important de musulmans, la Cinquième République n’innove guère en créant le Conseil français du culte musulman (CFCM), censé être l’interlocuteur des pouvoirs publics. Jusqu’ici, l’expérience n’est pas convaincante. Une politique empruntée au XIXe siècle peut-elle être une solution 200 ans plus tard ? (Source, orient-Jean-Pierre Sereni)